24 octobre 2007
A l'heure de toi
Les heures dérobées avec hardiesse
A la faveur de nos suaves retrouvailles
Où la volonté singulièrement paresse
Ces heures distraites palpitent en bataille
Elles s’égrènent le jour durant sur mon chemin
Lancinantes me content sans fin notre histoire
Brisé, le miroir qui t’absente au quotidien
Ton image s’illustre dans ma mémoire
La nuit même ne me guérit pas de t’aimer
Partout ta présence m’embrasse tendrement
Mon corps de la sève de ton corps semble s’armer
Mon cœur nu se rend au tien en un serrement
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