2 avril 2008
Le coeur disputé
Toutes larmes dehors, comme d’autres sortent les griffes, leurs oeillades sont lésion, leurs murmures barbelés.
Fatale rentrée de colère assortie, entre deux saisissantes sensibilités, là où s’invite un silence seyant, la solitude sévit et le tout propos tance.
De tristesse un cil s’éteint doucement, tandis qu’une salve de prières soulève l’émeute d’un regard, rebelle aux flèches de frictions.
Malgré l’éraflure, le sourire innocent se cherche, le frisson se crée à la capture gracieuse du geste qui s’amorce.
Des fumées plein les prunelles, comme d’autres ombrent leurs paupières, leurs peurs sont papillon, leurs querelles fugueuses.
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